Paléo festival, quatrième jour.
Ma motivation est proportionnelle au soleil dans le ciel, inexistante. Mais je sais que la soirée nous réserve de beaux concerts, alors ni une ni deux, je passe m’acheter des bottes et un K-Way (grosse pensée pour le Dosenbach de la gare de Genève, ils ont du faire le chiffre d’affaire de l’année grâce à l’orage), et je retrouve Namrata. Equipées (enfin c’est un bien grand mot pour Namo, elle est en tong… « Je préfère avoir les pieds mouillés à l’air libre, que les chaussettes trempées toute la soirée ») et prêtes à profiter des concerts, on se rend sous la scène du détour où le sextuor français INUÏT joue. Je vous préviens ce qui va suivre manquera totalement d’objectivité, je suis transportée par le concert et la rencontre de ces musiciens. 1 heure durant, INUÏT nous emmène et nous transporte dans leur univers, univers que nous aurons l’occasion de découvrir plus profondément le 12 Octobre pour la sortie de leur premier album. Action !
Tout va bien, la pluie s’est arrêtée de tomber sur la plaine de l’Asse, l’occasion de se placer aux alentours de la grande scène pour ne rien manquer du concert d’OrelSan. Et quelle claque ce concert, en fait ce mec c’est une rock star. Accompagné par un batteur, un bassiste, Scred à l’instru et encore un autre musicien, le groupe s’articule autour du chanteur. Je dois vous avouer un truc, OrelSan c’est un peu mon guilty pleasure, je connais son dernier album par cœur et j’ai certainement du ruiner toutes les vidéos des personnes autour de moi tellement j’hurlais sur toutes les chansons. Pour son quatrième passage au paléo et premier sur la grande scène, l’artiste a tout donné et ferait apprécier le rap au plus réfractaire d’entre nous. Namrata est conquise « It was insane ». Au fur et à mesure des morceaux, l’émotion est de plus en plus présente et certains n’ont pas pu retenir leurs larmes sur « Paradis ». Un grand moment.
Il est déjà l’heure de réserver sa place pour le concert tant attendu de Lenny Kravitz. Quand je dis tant attendu, je ne parle pas pour moi, honnêtement le mec me fait ni chaud ni froid, ça fait une semaine que ma collègue me vante les mérites de l’artiste. Et là tout de suite, j’ai plutôt envie que ça s’arrête. Bon, le concert durera quand même 2 heures, 2 heures de transe pour Namrata, 2 heures de hit ! You gotta believe it !
Il est déjà l’heure de réserver sa place pour le concert tant attendu de Lenny Kravitz. Quand je dis tant attendu, je ne parle pas pour moi, honnêtement le mec me fait ni chaud ni froid, ça fait une semaine que ma collègue me vante les mérites de l’artiste. Et là tout de suite, j’ai plutôt envie que ça s’arrête. Bon, le concert durera quand même 2 heures, 2 heures de transe pour Namrata, 2 heures de hit ! You gotta believe it !
L’anecdote du jour :
La crise touche tout le monde, même les revendeurs de billets à l’entrée : « Le marché il a baissé non ? »
Julie et Louise-Marie vous embarquent pour l’avant-dernier jour du festival !
Photo de une : © Paléo / Eddy Mottaz
La crise touche tout le monde, même les revendeurs de billets à l’entrée : « Le marché il a baissé non ? »
Julie et Louise-Marie vous embarquent pour l’avant-dernier jour du festival !
Photo de une : © Paléo / Eddy Mottaz
Publié le 21 juillet
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