« Moi, ce que j’aime, c’est les monstres », surtout bien dessinés
Chicago, fin des 60’s : une gamine qui se prend pour un loup-garou enquête sur le suicide suspect de sa voisine, rescapée de l’Holocauste. Première partie d’une œuvre fascinante, soutenue par un graphisme implacable et impeccable.
Moi, ce que j’aime, c’est les monstres, roman graphique d’Emil Ferris, traduit de l’anglais (USA), éditions Monsieur Toussaint Louverture, 416 p.
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