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Arts vivantsCultureLa Quotidienne

Faune, faune, faune, une proposition de Lucie Eidenbenz

Alice | 1 octobre 2019

C’est une invitation, une conversation, une rencontre. C’est un habitat, un moment, une expérience.
Tissé comme un meshwork, une cabane de pensée, Faune, faune, faune propose des actions poétiques pour inventer des façons de co-habiter le monde, les mondes, de jardiner des possibles, des abris oniriques.
C’est une composition qui se déploie sous la forme hybride d’une conférence, d’une visite et d’un workshop où sont conviées la poésie et la convivialité. Le public est invité à habiter l’espace du Commun et l’espace que l’on co-crée en regard les uns des autres — selon un processus préparé par les performers.

Prêter l’oreille à ce qui ne parle pas, mais n’en pense pas moins, n’en dit pas moins. Être pierre et amasser mousse. Construire des cabanes de liens et de pensées — en remettant en pers- pective le moment où l’on cesse d’habiter pour se comporter en spectatrices : le moment du Faune, qui se réveille en 2D dans un paysage-façade. Le revisiter, l’interroger : Faune ! Faune ! Faune ! Comment habiter le monde, les mondes ?
Il fait trop chaud désormais pour déjeuner sur l’herbe.

Une publication de Alice


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