Art ou dystopie: vendriez-vous votre peau ?
Son corps devenu le canevas d’une lutte, une lutte entre politique et art, entre amour et blessure, entre vie ou mort entre liberté et choix. Une forme de pacte faustien représenté par les couleurs acidulées du film, dans lequel on évolue avec amertume. On se dit qu’on aurait fait différemment, lorsqu’on voit sa peau luire sous la froide lumière de la table de tatoueur de l’artiste.
On crie de toute force, de douleur lorsque l’aiguille pique sa peau, SAM ne fais pas ça, tu fais le mauvais choix, Sam sauve qui peut, sauve ta peau.
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