Royel Otis : l’Australie en mode indie
Pour cette premiere chronique, je vous emmène en Australie avec le duo Royel Otis. Déjà passés par Montreux cette annee, ils s’inspirent de The Smiths et The Cure, mélangeant guitares rêveuses et synthés aériens.
Leur premier album Pratts & Pain séduisait par son insouciance et sa légèreté. Avec leur deuxième album, Hickey (sorti le 22 août), le ton devient plus personnel et mature : toujours lumineux et dansant, mais avec des textes plus profonds, marqués par les thèmes de la rupture, de la vulnérabilité et des cicatrices de l’amour.
Quelques morceaux phares :
* Moody : accrocheur et dansant, mais teinté de solitude.
* Come On Home : plus intime et fragile.
* More to Lose : une peur de perdre ce qui compte le plus, portée par une grande émotion.
* Car : un morceau solaire et entraînant, où la légèreté des mélodies cache une vulnérabilité subtile.
Avec Hickey, Royel Otis confirme sa place sur la scène indie internationale : un duo capable de transformer la mélancolie en chansons lumineuses, qui restent en tête comme un rayon de soleil.
Chronique : Priya
Animation : Lionel
Réalisation : Marlon et Antoine
Première diffusion antenne: 29 septembre 2025
Un contenu à retrouver également sur l'application PlayPodcast
Commentaires
Pas encore de commentaire pour cet article.