Cap vers Gaza avec Greta Thunberg #JDBN

Greta Thunberg a pris la mer en direction de Gaza pour dénoncer le blocus et alerter sur le génocide en cours, rejoignant une flottille internationale d’activistes. Pendant ce temps, le Conseil fédéral maintient le silence face aux crimes israéliens, et l’Université de Genève annonce la suspension partielle de certains partenariats avec des institutions israéliennes, sous la pression des étudiant·es mobilisé·es. Ainsi va le Journal des Bonnes Nouvelles #JDBN du 4 juin.

Briser le blocus et dénoncer le génocide
Le 1er juin, Greta Thunberg a pris le large à bord d’un voilier en direction de Gaza, aux côtés d’une vingtaine de militant·es, dont la députée européenne Rima Hassan. Cette action politique vise à dénoncer le génocide en cours et à forcer l’attention médiatique sur l’enfermement et la famine imposés à la population palestinienne. Depuis la Méditerranée, les activistes entendent briser symboliquement le blocus et rappeler la responsabilité des États occidentaux, accusés de complicité par leur silence ou leur soutien militaire à Israël. Une action puissante, qui souligne aussi l’importance de la liberté d’expression et de manifestation, de plus en plus mise à mal en Europe et en Suisse.

L’inaction fédérale persiste
Pendant ce temps, Ignazio Cassis reste fidèle à la ligne de la neutralité suisse: malgré une pétition de 130’000 signatures réclamant une prise de position claire, le Conseil fédéral refuse toujours de condamner les crimes commis par Israël.

L’Université de Genève cède partiellement
Sous la pression de la mobilisation étudiante, l’Université de Genève a annoncé suspendre certains partenariats avec des institutions israéliennes. Un geste encore timide, mais inédit dans le paysage académique suisse.

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Chronique : Charly
Animation : Emma
Réalisation : Marlon et Vanessa
Production : Calixte et Jess
Première diffusion antenne : 4 juin 2025
Mise en ligne : Camille
Crédit photo : DR
Publié le 2 août 2025

Une publication de Charly